L'automne, l'automne, l'automne est là. C'est ainsi que je chante avec ma petite fille. Hier, nous barbotions encore dans la piscine, aujourd'hui nous sortons les grosses vestes de la cave. Une fois que nous n'avons pas regardé, l'été s'en est allé. Une fois de plus sans prévenir - comme l'année précédente. Il fait sombre le matin, il fait frais le jour. Les hormones du bonheur se font rares. Apparemment, c'est aussi le cas de certains de mes semblables. Si je recevais cinq francs pour chaque remarque acariâtre sur mon enfant trop vivant ( !) ou sur ma poussette trop grande dans le tram, j'aurais déjà dit "hasta luego" au brouillard zurichois et je serais sur une plage à Rio. Malheureusement, je ne l'obtiens pas et je dois donc continuer à me battre contre des contemporains qui crachent du poison et de la bile. Ce que je ne fais évidemment pas - bon exemple et tout ça - même si je n'en aurais pas mauvaise envie. Je ne suis qu'un être humain. Mais ce que je fais, c'est dire haut et fort ce que j'en pense. Chaque maître de la critique reçoit son retour de bâton, je ne laisse rien passer. Parce que je veux montrer à ma fille qu'elle aussi n'a pas à se laisser faire et que, sinon, j'aurais un ulcère à l'estomac. Rien n'est plus difficile à avaler que les non-dits. Vous ne trouvez que quelques heures plus tard la réponse appropriée à des grossièretés placées par surprise ? Alors préparez dans un moment de calme une poignée de réponses toujours appropriées. Vous pourrez vous en souvenir au cas où. Car ne nous faisons pas d'illusions, il se produira. Ou est-ce seulement moi qui ai l'impression que de plus en plus de gens se sentent dérangés par la vie des autres ? Que l'on veut s'occuper le moins possible de son prochain ? Pas avec nous, défiez les éternels râleurs. Selon votre tempérament, n'hésitez pas à faire un doigt d'honneur. On peut aussi faire preuve de courage civique pour soi-même. Couvrez-vous donc chaudement, bande de râleurs - et nous prenons ce conseil au pied de la lettre, vu les températures qui baissent dehors.
Je volerais la veste en fausse fourrure d'Iglo + Indi dans l'armoire de ma fille !
Cela tombe bien, la veste bomber en fourrure (en fake fur, bien sûr) de Beau Loves est disponible dans ma taille.
L'écharpe ronde de Bobo Choses de la collection "Dear World", qui est une ode à notre planète et à son monde animal fascinant.
La veste graphique caméléon de Gosoaky est une œuvre d'art résistante au vent et à l'eau.
Le chat sauvage est toujours de la partie : le bonnet Panther de Mini Rodini est en laine mérinos.
On n'a jamais assez de belles écharpes, celle-ci est de Tinycottons.
Le parapluie rouge vif Amako de l'entreprise Vilac, qui fait fabriquer une grande partie de ses produits dans le Jura, sera utilisé à coup sûr.
Donne chaud à maman : pull en tricot à message de Beau Loves.
